Les amis de mes parents sont mes amis.. [Partie 1]

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Les amis de mes parents sont mes amis.. [Partie 1]- Priya, descends s’il te plaît ! Les invités vont arriver ! – Oui, deux minutes ça va ! Ma mère est toujours stressée quand il y a des invités. En fait, il n’y en a que très rarement, mes parents sont plutôt réservés, introvertis, casaniers, mais s’efforcent de garder un semblant de vie sociale en invitant, une fois tous les 36 du mois, un couple d’ami à eux. Ce sont des amis de longues date, qu’ils connaissaient déjà bien avant de m’avoir. Ce couple, c’est Hervé et Annie. Hervé est un homme grand, du genre armoire à glace. Il est roux, barbu et possède de grands yeux bleu rieurs. C’est un homme d’esprit, bavard, avec un répertoire d’anecdotes bien rempli et un humour parfois grivois. Annie est une belle brune, élégante, au visage fin orné de taches de rousseur, aux yeux en amandes et au nez retroussé. Elle est discrète, appréhensive, soucieuse de l’image qu’elle et son mari renvoient. Je fini de me maquiller rapidement et prends quelques instant pour contempler mon reflet dans le miroir. J’ai mis, pour l’occasion, un petit chemisier blanc rentré dans une jupe noire taille haute. Au bout de quelques minutes à scruter mon apparence, je commence à trouver que je ressemble à une serveuse et l’idée de me changer à nouveau effleure mon esprit quand je suis rattrapée par le tintillement de la sonnette. Trop tard, ils sont là, je descends.J’arrive dans l’entrée et les convives sont déjà là, debout devant la porte, saluant mes parents et échangeant quelques banalités. Annie m’embrasse chaleureusement et me sers l’habituel “Priya tu as tellement grandi ! On dirait ta mère quand elle avait ton age !” Je souris timidement et hoche la tête en guise de remerciement. Hervé, lui, fais mine de ne pas me reconnaître et me demande qui je suis, une façon très peu subtile de me faire comprendre que j’ai bien changé depuis la dernière fois qu’il m’a vu. Je rigole par politesse tandis qu’Annie lève les yeux au ciel. Il fini par m’embrasser à son tour, cramponnant fermement sa grande main à ma hanche, chose qu’il n’avait jamais faite auparavant ou que je n’avais alors jamais remarqué car trop jeune pour déceler l’ambiguïté du geste.Je repense longuement à sa main posée sur mon corps, une étrange sensation m’envahit, un mélange de gène, de fierté, de frissons.. J’avais l’impression que sa main était la, même plusieurs minutes après, comme un touché fantôme, et ce n’était pas déplaisant, plutôt déroutant.. Intéressant. La soirée suit son cours, installés dans le jardin, le temps est clément et l’ambiance est bonne. Je me permets trois petits verres de malibu coco sous les yeux bienveillants de mon père. Je suis assez sérieuse, je ne bois qu’aux rares occasions qui s’y prêtent. La sensation de chaleur canlı bahis şirketleri et de “joue rouge”, difficilement visible sur ma peau cuivrée naturellement, provoquée par l’alcool se fait sentir, c’est agréable, je suis pompette. Ennuyée d’écouter les souvenirs et anecdotes d’une époque révolue, je suis comme invisible au point que j’ai l’impression qu’on en a oublié ma présence, je me remets donc à penser à Hervé et sa façon de me saluer. Peut être que ce n’était que la salutation anodine d’un homme tactile, ou peut être que les années ont fait de moi une fille qui l’attire.. Difficile à croire étant donné qu’il ne m’adresse ni la parole ni un regard en ce début de soirée. J’ai très envie de vérifier ce soir, mais sera-t-il réceptif? Comprendra-t-il? Est-ce inconvenant? Et surtout n’est ce pas simplement un gros quiproquo? En effet, c’est une situation tellement étrange, il me connais depuis mon plus jeune âge, il a “changé mes couches à une époque” comme il aime me le rappeler à chaque fois. Peu m’importe, trompant la vigilance de mes parents, je m’empresse de me resservir un verre de ce fabuleux breuvage qu’est le malibu et décide de tenter quelque chose, sans que ce soit trop explicite. Lui faire un peu de pied, faisant mine de me dégourdir les jambes, c’est excitant tout en restant correct et insignifiant. Ni une ni deux, je porte mon verre à mes lèvres pour me donner du courage, et etire mes jambes de tout leur long jusqu’à butter contre les sienne. Il detourne enfin son regard de mes parents et me regarde, je m’excuse et par réflexe, décolle immédiatement mes jambes des siennes. Il me souris et ne dis rien. Je me sens ridicule, c’était inutile et malvenu, je plonge dans mon téléphone pour feindre d’être occupée quand je sens quelque chose entrer en contact avec ma jambes droite.Mon cœur se met à battre à la chamade, stressée, je jette un œil discret sous la table et vois sa timberland couleur camel collée à ma jambe. Je n’ose même plus lever les yeux pour le regarder, je replonge dans mon téléphone et fais comme si de rien était. Situation perturbante, il a volontairement collé sa jambe à la mienne mais rien ne se passe.. A-t-il au moins remarqué ? Qu’est ce que je suis en train de faire ? Et si mes parents voyaient ? Ou pire, si Annie voyait ? D’innombrables questions me traverse l’esprit quand je sens sa jambes doucement caresser la mienne, mais il ne me regarde absolument pas, il rit aux éclats avec ma mère.. Pense-t-il toucher le pied de table ? Une action entraînant forcément une réaction, je lui rend son attention en remontant ma jambes pour lui caresser les mollets, toujours aucun regard mais ses caresses perdurent et s’amplifient. Il sait que je sait qu’il sait ce que je fais, le jeu est de plus canlı kaçak iddaa en plus excitant, mais étant une piètre aventurière, je n’ai plus aucune idée de ce que je dois faire. – Priya ? – Priya ?! A quoi tu penses ? M’interpelle ma mère – Euh oui pardon j’étais ailleurs Lui dis-je en bafouillant, encore troublée par ce retour à la réalité si brutal – Va nous chercher du rosé dans le buffet s’il te plaît. – Euh d’accord C’est frustrée mais rassurée de pouvoir temporiser un peu que je m’execute. Profitant de ce moment de solitude, je deboutonne un bouton de mon chemisier pour créer un décolleté un peu plus plongeant, me recoiffe rapidement et me remet en route pour le jardin. En revenant, chargée de deux bouteilles de vin, je dépose une bouteille devant mon père et une devant Hervé, m’appuyant sur son épaule pour garder l’équilibre et surtout pour lui faire comprendre que je veux continuer ce petit jeu de séduction. Son regard se porte directement sur ma poitrine, le truc du bouton à marché et je jubile intérieurement. Ce qui est amusant c’est que personne ne se doute de ce qu’il se passe, c’est trop improbable et inimaginable pour être réel mais bien assez pour être excitant. Je me rasseois face à lui et lui souris, il me rend mon sourire et me resserre discrètement un verre en me faisant un clin d’œil. Étonnée et amusée je m’empare rapidement du verre et le sirote en replaçant mes jambes entre celles d’Hervé. Galvanisée par la réciprocité du jeu, je m’autorise à retirer une ballerine pour lui faire des caresses moins grossières, plus précises, et c’est le pied nu que je remonte le long de son tibia pour arriver au genou, puis à ses cuisses, que mon pied prend plaisir à frotter doucement. Hervé semble d’un coup moins détaché, il se rapproche de la table jusqu’à avoir le torse collé à celle ci, sans doutes pour que mes attouchements passent inaperçu auprès d’Annie. Soudain, ma mère et Annie se lèvent, prise de panique, je remet mon pied en place bruyamment, me cognant le genoux à la table, ce qui fait rire Hervé. Elles vont mettre la table et apporter le dîner. Me voilà seule avec mon père et Hervé, qui se lancent à présent dans une conversation footballistique. Ma mère et Annie parties, mon pied retourne immédiatement se nicher sur les cuisses d’Hervé qui semble n’attendre que ça. Les discussions de foot étant souvent animées, Hervé ne semble plus me prêter attention. Je décide alors de passer au niveau supérieur et c’est délicatement que du bout des orteils je viens effleurer son entrejambe. Tout a coup Hervé semble ne plus maîtriser son sujet aussi bien qu’avant, cela m’amuse, j’aime voir l’effet qu’une fille comme moi peut faire à un homme comme lui, mon pied se fait plus insistant, mes caresses plus régulières canlı kaçak bahis et appuyées. Hervé s’affale un peu plus dans sa chaise, écartant ses jambes pour me laisser un boulevard. J’en profite et continue, sans trop en faire histoire de ne pas éveiller les soupçons de mon père, toujours en train d’argumenter sur la légitimité de je ne sais quel investisseur de je ne sais quelle équipe. Bref, inintéressant. Au même moment, je sens durcir le membre d’Hervé, la braguette que mon pied caressait il y a quelques instants est devenue une bosse plus ou moins dure que j’aime tâtonner. – Et voilà, de la nourriture pour nos carnivores ! S’exclame Annie les bras chargés, suivie de près par ma mère. Et merde, ça devenait pourtant sympa. Je retire mon pied et les laisse mettre en place la table et les mets. – Avant de manger, il faut se vidanger ! Déclare Hervé en tapant sur la table, ce qui fais rire mes parents. Il se lève, monte les quelques marches menant à la terrasse et s’engouffre dans la maison, sans même un regard pour moi. Comment peut il faire semblant à ce point ? Je prétexte avoir besoin de mettre mon téléphone en charge et lui emboîte le pas. – Priya, il te manque une chaussure ma chérie.. Me dis Annie en pouffant de rire- Oups.. Je récupère maladroitement ma ballerine et repars. Arrivée dans le salon, je branche mon téléphone, même si ce n’est pas utile. Tout est calme, j’entends au loin le rire de ma mère. Je monte sur la pointe des pieds en direction des toilettes, la porte est fermée, la lumière est allumée, je reste complètement tétanisée devant la porte.. Bah quoi, je vais pas entrer pendant qu’il se “vidange”.. Je tourne les talons et m’apprête a redescendre quand j’entends les cliquetis de la serrure. La porte s’ouvre et Hervé sors, il semble étonné de me voir. – Tiens Priya, ma jolie Priya, tu me suis ? Dit-il a voix basse, arborant un léger rictus. – Non non désolée, j’allais aux toilettes mais vu que tu y étais.. – Tu comptes faire comme si de rien était ? Viens par ici Priya. Son ton semblait plus sérieux, autoritaire qu’avant. Je m’execute et remonte la marche que je venais de descendre à l’instant. Je suis face à lui, il fait deux têtes de plus que moi, je me sens vulnérable, petite et vraiment mal à l’aise alors que c’est moi qui l’ai aguiché toute la soirée. Sa main vient caresser doucement ma joue, puis mes cheveux et redescends jusqu’à ma nuque qu’il empoigne fermement contrastant avec la douceur de ses gestes précédents. Son autre main vient généreusement empoigner mes fesses qu’il malaxe comme un boulanger petrirai sa pâte. Je ne dis rien, je pose mes mains sur son torse et me sens à cet instant précis comme si plus rien n’existait autour de nous.. – Hervé ? Tu viens chéri, on t’attend pour commencer ! Crie Annie d’en bas. – J’arrive chaton, j’ai fait la vidange et la révision par la même occasion ! S’esclaffe Hervé, toujours aussi sur de lui. Hervé compresse une dernière fois ma fesse entre sa main puissante et s’empresse de descendre.. A suivre.

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