Pu te de luxe

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Babes

Pu te de luxeNos regards se croisèrent ce jour-là. Je ne l’avais jamais vu auparavantd’autant que son style détonnait un peu avec la clientèle du lieu. Dansce coin sinistre de banlieue on n’était guère familier de ce genre degrande bourgeoise. On aurait pu croire qu’elle s’était égarée par ici sielle n’avait été flanquée ce jour-là de la grande carcasse de Marc, unami black. Je le soupçonnais avoir voulu nous exhiber sa dernièreconquête. Il pouvait en être fier à bon droit. Je lui donnais à la bellela quarantaine attifée chic et mêlant tant l’audace que la timidité.En,effet elle rougissait du fait qu’elle et son compagnon, venaient delouer un DVD estampillé cul Marc en son propos émaillé d’un clin d’œilme signifiât que pour émoustiller leur prochain ébat, ils avaient besoinde cela. Elle baissait la tête jusqu ‘au moment où son amant butorl’invita à payer. Ce gredin se flattait de son statut de gigolo. Je puscroiser un peu le regard désemparé de la belle. Outre le paiement encarte bleue, elle dut me concéder une adresse mail. Toutes cesformalités la décontenançaient. Elle se fut voulue à mille lieux d’ici.Les autres types du magasin, non moins black que Marc et moi, seretournaient sur la belle. L’effet souhaité était donc obtenu. On bavaitau sens propre sur cette croupe et magnifique et cette chute de rein.Tout homme rêverait de chevaucher une telle monture. J’éprouvais un peude dépit de n’avoir pu obtenir jusqu’à présent une telle proie. Je suspar la suite de Marc qu’il l’avait attrapé sur un site de rencontres oùcelle-ci annonçait ostensiblement rechercher de la bite de black. Ilavait été l’heureux élu. Elle n’avait pas menti. Elle adorait les jeunesnègres.Marc au café s’était devant une kyrielle de potes largement étalé surses exploits. Elle suçait divinement. Elle adorait qu’on lui défonce lecul. Elle était insatiable et vous épuisait. Il avait du recourir auservice d’un cousin passant par là pour la contenter. D’un air entenduil nous fit entendre qu’il pourrait nous solliciter pour réaliserquelque trio d’athlètes. En effet elle n’excluait pas qu’on occupât enmême temps ses trois orifices. Cette description me choquait dans lamesure où elle tranchait avec l’impression autre que m’avait laissécette femme.Puis il n’y eût plus de suite un temps. J’oubliais Marc et son amie.Cependant je devais régulièrement élaguer les listes de relance. A cetégard le DVD qu’ils avaient loué n’était pas revenu. J’usais donc del’émail obtenu à cet effet. Elle me répondit peu après, confuse. Ellel’avait en effet encore en sa détention. Elle s’excusait et cependantavait scrupule à revenir pour le restituer. Elle songeait à me lerenvoyer par la poste. Sachant par Marc, à peu près son adresse, je luiproposais de venir à une certaine gare pour récupérer mon propre bien.Je fus étonné qu’elle acceptât ma proposition. J’aurais pensé qu’ellerecourut aux services de la poste pour ne pas croiser de nouveau un typequi l’avait surprise dans un moment de vice et de débauche. Je mis celaimpunément sur le compte de nos regards échangés. Quelque chose dedécisif entre nous s’était effectuée. Autant que moi, elle n’avait pum’oublier. Un peu nerveux, je fus tôt au rendez-vous. Celui-ci sedéroulât dans une brasserie autrement moins sordide que ma vidéothèque.J’étais rasé de près et affublé d’une veste du dernier cri.Je le reconnus de suite plus belle que jamais. Les hommes notamment setournèrent vers elle dès qu’elle parut. Fort à propos et par un signediscret je m’éloignais vers le fond du bar afin qu’elle me suivit sansqu’on soupçonnât notre relation. Là dans un recoin tout empli depénombre, nous pûmes nous asseoir et commencer à échanger. Elle s’excusadu peu de temps qu’elle avait à m’accorder. Bon prince, je répondis avecquelqu’impertinnece qu’elle était sûrement une femme fort occupée. Je nel’en invitais pas moins à accepter à prendre un verre.Toujours sur le même registre et tournant dans la main le DVD qu’ellem’avait remis, je fis mine d’examiner l’objet et bursa escort en parlais comme d’unobjet familier. Je lui expliquais que Marc avait mauvais goût. Quecertes ce film offrait des scènes et postures affriolantes mais qu’un Xpeut fournir cependant un meilleur scénario voire-même une morale plusédifiante. Elle parut étonnée de la teneur de mon propos. Elle neparvenait à deviner si je blaguai ou étais sérieux. Je lui citaisquelques titres de pornos célèbres et goûtés par les libertins. Je leslui conseillais.Manifestement plus détendue, elle entra peu à peu dans mon jeu. Elle serecula sur sa chaise tout en croisant ses cuisses qu’elle avait fortbelle. En même temps un coup d’œil de côté vers une glace signalait lacoquette et qu’elle voulait sûrement me séduire. J’étais assuré àprésent qu’elle ne voudrait pas écourter notre entrevue. Elle mit assezvite les pieds dans le plat. Elle voulait savoir si marc s’était épanchésur elle. Je lui répondis laconiquement : »Vous savez tout mec aime à sevanter. » Peu après le garçon demanda si l’on voulait prendre autre chose.Je payais le premier service. Elle insista pour que le second fut pourelle. A ce moment je fis choir une pièce. Dans la pénombre j’eus du malà la repérer. Le garçon protestait que ce n’était grave. Qu’il laretrouverait. J’insistais cependant encore de longues secondes à laretrouver. La garce en profita à cet instant pour écarter les cuisses.J’eus alors le loisir à savourer sa belle chair qui affleurait à lanaissance des bas et une culotte dont la base était fort transparente.La pénombre et le peu de temps imparti ne m’empêchèrent pas dedistinguer tout cela.Penaud je remontais du dessous de la table. Elle était tout sourire etme moquait pour mon zèle vain. « Vous êtes trop serviable. Cela vousperdra ! » Je lui répondis avec quelque malice : »Rassurez-vous monescapade a valu le coup ! » C’était ma façon de lui faire entendre queje n’étais pas dupe. Que je savais quant à ses goûts et ses vices. Aussiattaquais-je résolument cette fois. « Vous savez, j’étais persuadé quevous alliez user de la poste et ne pas vouloir me rencontrer ». Ce àquoi elle répondit : « En effet j’ai hésité. »Nous en étions aux confidences. Sans ambages, je lui dis : «Je voustrouve très belle. Je n’aurais jamais cru dans le plus beau de mes rêvespouvoir vous rencontrer à nouveau ». Elle éclata de rire jetant : « Vilflatteur! » Je jetais alors mon pied sous le table afin de lui caresserle sien. Elle répondit par un même geste. Par la suite je perçus qu’elleavait retiré son pied de l’escarpin et m’en caressait doucement lacheville. Je bandais ce qu’elle devait percevoir avec une excitation quitransparaissait d’autant plus dans son œil lumineux.J’admirais par ailleurs le rouge brillant sur ses lèvres charnues. Cedevait être magnifique d’embrasser une telle bouche et d’en être sucé.Elle s’appelait Marie. Je répétais à tue-tête ce prénom et le tutoiementétait devenue maintenant de rigueur entre nous. Elle abandonna sa maindans la mienne. Dans un souffle je lui dis : « Il faut que je vous fassedécouvrir les pornos dont j’ai parlé. » Mi-sourire elle répondit : «Volontiers. » J’embrayais : »Pourra-t-on se revoir au plus tôt ? »J’ajoutais : « Puis-je te raccompagner ? » Elle sourit.Je n’aurais pas été choquée si elle avait refusé. J’avais tant obtenu encette première fois. En même temps je concevais qu’elle ne voulut pas memontrer où elle habitait. Elle s’en tirât par une pirouette. « Peux-tume déposer à l’autre bout de la ville chez une amie ? » Je ne pusqu’accepter trop heureux. En fait je devinais qu’elle devait habiter àquelques pas de là et était venue à pied. Faisant la dupe et jouantvolontiers au taxi, nous roulâmes ainsi quinze bonnes minutes. Ilfaisait sombre. Le soir était tombé. Ma main allât jusqu’à sa cuisse.Celle-ci était douce, puissante et chaude. J’adorais cette matièrevoluptueuse du bas qui rend si désirable la chair en dessous. Jebénissais celui qui avait inventé cela. Il avait ajouté bursa escort bayan au bonheur del’Humanité. Écartant ses cuisses à mesure j’étais invité à aller plusloin jusqu’au sanctuaire où je savais trôner l’Enfer ou le Paradis. Sachatte était en effet brûlante. Elle saturait d’humidité sa culotte.Marc n’avait exagéré la qualifiant de salope. Elle ne trouva pas àredire que j’enfonce d’un coup ma main qui passait les vitesses, au fondde sa culotte.Je malaxais à présent sa chatte lui arrachant ses premiers gémissements.Je trouvais plus sage et importun de nous arrêter aux abords de laroute. Nos bouches furieusement se mêlèrent. Elle me dévora. Luttetendre et vorace. Il lui importait peu que les passants la devinassententrain de se donner à un nègre. La luxure semblait la rendre folleinaccessible à l’élémentaire pudeur. Aussi pus-je lui extirper l’unl’autre sein de son corsage et les exhiber à tous. Je les dévorais nonmoins avec ma bouche. Elle fut prise en cela par un râle profond dejouissance.Je ne sus comment peu à peu elle s’en prit à ma braguette pour enextirper le nœud que je savais gros et à sa convenance. Elle le branlapeu après et s’enquit de le sucer lentement puis méthodiquement.Toujours avec le même mépris pour le passant qui réalisait trop tardqu’une salope suçait un type quasi en pleine rue. Je passais ma maindans sa chevelure brune de lionne. Pouvais-je rêver plus belle entrée enmatière. Je n’étais plus jaloux dudit Marc. Je parvenais au mêmeempyrée. N’y tenant plus j’emmenais notre véhicule dans un autre endroit.Ce fut près d’une décharge publique. Foin de la poésie, je la foutaiscomme une chienne. Je besognais ainsi comme un sauvage entre le massifde ses fesses. Elle avait une prédilection pour la levrette. Je ne laménageais guère dans mes coups de boutoirs. Elle me jeta à un moment. «Prends-moi. Encule-moi. J’aime çà ! » Je ne me fis pas dire la chosedeux fois . Je vis que l’anus était docile et familier à touteintroduction. Outre les doigts, ma verge bientôt put s’immiscerlà-dedans entière. Je n’étais pas peu impressionné qu’elle encaissâttout cela.Finalement Marc et d’autres l’avaient eu à peu de compte. Fort peuflatteur pour moi. Le mot : salope était insuffisant. Un autre eût mieuxconvenu. Elle-même le proféra dans l’action. Elle dit : « Baise-moicomme une putain ! » Et encore une pute le fait pour de l’argent. Enconstitue son gagne-pain. Celle-ci bourgeoise oisive assouvissait toutesa lubricité avec si je puis dire le premier venu. Ce mystère n’étaitpas le moindre de son charme. Je voulais le percer et donc la revoir.Outre que son cul, sa chatte et puis ses seins m’avaient subjugué.Vivant avec une petite amie j’étais contraint d’user de mes maîtresseschez un de mes cousins lequel était à titre de rétribution, convié desfois aux jeux. Je lui dis que j’avais dégoté un sacré beau morceau. Leseul mot de bourgeoise suffit à son fantasme. Il savait par expérienceque ce sont les plus garces. Ma bourgeoise ne s’offusqua pas de laprésence d’un tiers l’ayant assuré que celui-ci était black et doté d’unbeau braquemart. Outre que de regarder, il voudrait participer. Puis ceserait l’occasion de visionner quelques-uns de mes fameux pornos.Je pus mesurer qu’elle avait un sens critique et le point de vue ducinéphile. Car sans égards pour moi elle taxa le premier de prétentieuxet d’abscons. Elle trouva nulle cette parodie de Sade. Heureusement quetout cela fut rattrapé par la baise. Le cousin au départ par la porteentrouverte de la chambre se contenta de mâter. Ma putain tandis que jelui enfonçais le cul entrevit que l’autre porc et vicieux se masturbaitet que son engin en effet était remarquable. Elle cria bientôt qu’ellela voulait dedans sa bouche et ailleurs.Le cousin ne se faisant pas prier lui soumit l’objet dans la bouche.Cette dernière petite eut de peine à l’enfourner en son entier. Elle nelui en câlinât pas moins le gland avec la langue et lui lécha l’uneaprès l’autre les couilles. Le cousin était escort bursa ravi grognant : » T’avaisraison. C’est une as de la fellation ! » C’était en effet non moinsfascinant de la voir sucer que de l’être. Les performances du porno endevinrent du coup palis. La fiction est souvent en deçà du réel. Lecousin voulut fourrer la pute pour reprendre ses termes. Ils melaissèrent en simple spectateur.Elle me fixait avec un regard à la fois dur et ahuri. On eût dit uneautre personne dans ces moments-là. La folie l’animait. Elle devenait unpantin sexuel dans les bras des autres hommes. Elle m’avoua n’aimaitrien tant que d’être prostituée devant un mâle. Elle aimait lire dans leregard de celui-ci le témoignage de son abaissement. Elles’accomplissait dans cette totale déchéance. Elle avait eu révélation decela il y a trois ans en un viol en réunion. On l’avait entraîné dansune cave d’immeuble. L’orgie avait duré. C’étaient des blacks.Elle n’avait pas porté plainte non pas qu’elle eût si honte que parcequ’elle se trouvât devant une terrible révélation. Elle avait en effetéprouvé une jouissance au-delà de toute mesure. Il n’y avait personne àqui elle pu se confesser et surtout pas à son mari lequel l’avait tropfrustré de sexe et de sensations. Celui-ci accaparé par le gain et sontravail s’était contenté d’exhiber à tous sa superbe femme parée detoutes les vertus. Il lui parût que sa vie n’avait été que celle d’unepotiche. Que le sel et le plaisir de la vie lui avaient donc été refusés.Peu de temps après, elle se donna à son prof de gym, grand black qui ladraguait depuis toujours. La révélation de l’autre fois fut confirmée.Le prof de gym l’offrit à ses jeunes cousins. En ce genre de tournante,l’expérience du viol était réitérée. Elle savait désormais où trouverson plaisir. Elle sut par les sites de rencontres que d’autres putainsblanches requéraient aussi de jeunes bites nègres. Ils n’étaient pastant impressionné qu’une grande bourgeoise voulut goûter aux joies duruisseau. En nouvelle belle de jour, elle s’épanouit.Je sus assez de sa vie. Elle m’en voulut d’introduire un peu demétaphysique dans notre relation. Elle me fit remarquer à bon droit qu’àforce de réfléchir on bande moins. Aussi compensais-je en lui présentantautant de jeunes blacks qu’elle voulait et si possible voyous. J’étaisdevenu en sorte un entremetteur, un maquereau. Elle m’invitât à prendredes clichés et des vidéos de ses ébats. Nous diffusions sur le Net. Sonpseudo était : Pute à blacks. Je n’aimais pas moins la prendre encoremais seul comme si je fus devenu son second mari.Elle trouva bon et pervers un pareil statut. Au contraire du premier etde l’officiel, je savais o combien elle était putain et traînée. J’enavais pris mon parti. M’était renvoyé mes propres perversion etturpitude. Ce fut un de mes oncles qui me jeta un jour cette vérité à lafigure après que je l’eus amené chez lui et qu’il en eût profité à sontour. Il me dit : « C’est donc elle la fameuse pute et dont parle tanttes cousins ? « Ne vois-tu pas que tu ‘avilis autant qu’elle. Tugagnerais plutôt à ce qu’on vous paye tous deux. Sois maquereau jusqu’aubout ! »Je ne vins pas jusqu’à cette extrémité. Cependant j’avais pris goût ànotre jeu si funeste. Il fallait pourvoir sans cesse au flot de nosadmirateurs. Ceux-ci sur la Toile réclamaient sans cesse de nouvellesphotos et vidéos. Elle se devait à ses adorateurs. Elle n’avait jamaisespéré pouvoir conjuguer la gloire et le vice. Elle était sensible àcette reconnaissance retorse fut-elle des plus singulières et sordides.C’était devenu une drogue. Il lui fallait commentaires et témoignages deson corps. Finalement nous fîmes payer un tel commerce.L’oncle avait eu malgré lui de l’intuition. Marc que je croisais un jourm’accusa de lui avoir volé sa pute. Il était jaloux de notre renommée.Tout cela finit par une blague. Marie par un trait d’esprit me présentâtun jour, un vieux que je sus trop tard son mari. Celui-ci me prit ensympathie. Elle m’avait présenté comme son prof de gym. Je ne suis passûre qu’il fut dupe. En tout cas il me remercia que sa femme fut mieuxgrâce aux cours dispensés. Je vins à lui prescrire du sport aussi. A lafin pour réveiller sa libido il eût droit aussi à de certaines vidéos.

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